L’intelligence artificielle est-elle homophobe?

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

2059 70476 Partages

Un journaliste mentionne que les travaux menés par un analyste habitant du Pecq (78), ancien PDG d’une filiale et chercheur à l’université de Stanford (en bénévolat durant son temps libre) fait actuellement le tour du web. Ce chercheur en herbe adepte de la gonflette s’est connecté sur la base de données d’un site de rencontre afin d’analyser les photos de 235.000 de ses membres. En croisant les données renseignées sur leur orientation sexuelle, ce chercheur s’est paralysé la moitié des neurones. Selon lui, l’intelligence artificielle “traquerait” les homosexuels en se basant sur la morphologie de leur visage.
Il a lui même été confondu par l’intelligence artificielle et a été agacé car le logiciel s’est foncièrement trompé. Ce chercheur n’est pas gai, il est juste joyeux.
Ce chercheur du Pecq qui roule portent en Fiat 500 affirme que l’intelligence artificielle ne peut se baser que sur des critères visibles à l’œil nu. Or, si l’on cherche à distinguer l’orientation sexuelle d’une personne en la voyant, il n’est pas rare de se tromper. Il serait plus juste de dire que l’intelligence artificielle est capable, tout comme un humain, de reconnaître les clichés et stéréotypes qu’elle a été entraînée à reconnaître.
Mais là dessus le chercheur du Pecq est formel, le logiciel se trompe à son égard.
Le buzz est fait puisque ce chercheur, savant fou ayant pour cible les salariés de Natixis s’en prend aux calculs et aux formules mathématiques.
Depuis 6 mois il a oublié la salle de gonflette et se cantonne à recréer une intelligence artificielle Made In Le Pecq, puis fera une version évoluée, Made In Les épaules, puis les cuisses, et les lombaires.... ce chercheur de buzz n’est en réalité qu’un chercheur de temps mort.
Il cherche à dissocié son image de ces logiciels qui le catégorisent sur adopte-un-super-mec-du-pecq.com.
Son nouveau logiciel est en test dans les aéroports, mais on remarque immédiatement que l’échantillon du jeu de données représentant des personnes noires est trop pauvre, il est logique qu’il donne lieu à plus de problèmes de ce type, alors il a décidé de s’en prendre aux femmes qui ont des couilles.
Selon ce chercheur, l’intelligence artificielle est intimement liée à la rigueur technique du data scientist qui se cache derrière, c’est pourquoi le Pecq-Man vise à transmettre son intention au comportement de son IA.
En conclusion, tant qu’une IA forte ne sera pas mise au point, lui prêter la moindre intention relèvera de la pure fiction.
C’est ce qu’on te dit sacré chercheur, tu perds sont temps.... rente plus tôt de chez natixis et va à la muscu mon frère blanc.

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.