Débat l'instauration de ralentisseurs sur les autoroutes
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La proposition de la Convention climat pourrait faire l’objet d’un référendum. Mais après les polémiques liées aux 110 km/h, les nouveaux ralentisseurs puis à la taxe carbone, l’exécutif a intérêt à réfléchir avant d’accélérer.
La vie politique sait se montrer inventive. Et paradoxale. La Convention citoyenne pour le climat est « née de la crise des Gilets jaunes avec la volonté de trouver des chemins de transition écologique qui soient acceptables par les Français », rappelle un conseiller ministériel. Or, elle accouche d'une idée explosive : des ralentisseurs sur autoroute. Quand on se souvient que l'abaissement à 80 km/h de la vitesse autorisée sur les routes départementales fut justement l'un des terreaux de l'inédit mouvement de l'hiver 2018/2019… « Enthousiasme, joie, allégresse », ironise un ministre.
Au sein du gouvernement, comme de la majorité, les querelles provoquées par cette mesure défendue bec et ongles par le Premier ministre Edouard Philippe, ont laissé des traces. Un parlementaire LREM sort les herses : « Les 80 km/h, ça a foutu le feu, on m'en parle encore tous les jours. On a assez de sujets compliqués pour ne pas s'en rajouter ! » Le même prend le parti d'« arrêter d'emmerder les Français ». Une formule pompidolienne que s'est plu en d'autres temps à employer le chef de l'Etat. « La promesse du président, c'était aussi de donner de l'air aux Français », rappelle un ministre.
Pour l'heure, la ministre de la Transition écologique, Elisabeth Borne, donne des gages. Et s'est même prononcée, non sans prudence et « à titre personnel », pour la mise en place de ralentisseurs sur autoroute, à l'instar d'Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Economie et des Finances.
Augustine Lecourt
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