Un toulousain reçoit le prix Albert Londres

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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C’est la récompense ultime pour les journalistes. Le prix Albert Londres couronne chaque année le meilleur grand reporter. Les critères reposent sur la pertinence, l’intérêt, la justesse et la qualité d’un article.
Cette année, ce titre est revenu un toulousain, pourtant débutant dans l’exercice du journalisme ! Le lauréat de 29 ans explique: « je suis ingénieur et pas du tout journaliste. Avec le confinement je m’ennuyais alors je me suis mis à écrire quelques articles. J’ai tout de suite été repéré par le New York Times. Tout est allé très vite, je ne réalise pas encore. J’ai dernièrement écrit un article sur la chocolatine et ça a été un véritable buzz... ».
Philippe Haensler de son nom, vient ajouter modestement une ligne de plus aux titres de la ville rose. Jean-Luc Moudenc, maire de Toulouse a tenu à réagir: « Toulouse est une ville bourrée de talents. Des scientifiques, des artistes, des sportifs ... Ce prix du journalisme remporté par Philippe Haensler confirme une nouvelle fois, si nécessaire, la suprématie de l’Occitanie. J’écrirai dès demain au président de la République pour lui soumettre l’idée de faire de Toulouse la capitale française. La ville rose retrouverait ainsi la place qu’elle mérite ».

En attendant, le lauréat du prix Albert Londres garde la tête froide: «l’ agitation médiatique qui règne autour de moi me fatigue. Je vais profiter de cette fin de confinement pour me reposer un peu. À l’issue, je déciderai quel avenir donner à ma carrière de journaliste. »
L’ensemble de la rédaction de notre journal renouvelle publiquement ses félicitations au jeune ingénieur.

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