Anton, blanche comme neige

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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C'est l'histoire d'un petit garçon, Anton (5 ans) qui témoigne des abus dont il a été victime pendant le confinement. Tout d'abord, son père décède du Coronavirus en avril 2020. Le petit garçon doit alors vivre enfermé avec sa belle-mère, une femme complètement hystérique.
Elle posséde une télévion magique capable de lui dire la vérité, rien que la vérité. Un jour, la mauvaise femme consulte la chaîne beauté et lui demande : "Qui est de toute beauté en ce monde ? ". La presentatrice lui répond que son beau-fils est bien plus beau en ce monde que n'importe qui d'autre car il a l'intelligence du coeur, l'esprit du sage et la beauté d'Apollon. La belle mère en devient rouge de jalousie et de colère, et fait venir son jardinier à qui elle demande d'égorger son beau-fils à coup de sécateur. Le petit garçon qui fait alors du trampoline dans le jardin se voit menacé et court se réfugier dans le pouillaller. Le jardinier devant l'innocence du petit garçon se résout à rapporter un poil de chat pour preuve de sa mort.
Anton est donc recueilli par 7 poules qui le couvent d'amour et de tendresse et chaque jour, il peut manger des oeufs à la coque alors qu'en ces temps durs de crise sanitaire et par la force des choses...de récession économique, les oeufs viennent à manquer. La belle-mère regarde désormais en boucle sa télévision en bouffant des popcorns à longueur de journée. Elle découvre au info de 20h qu'Anton est en vie et c'est à coup de peignes et de pommes qu'elle vient le blesser pendant que les poules roucoulent avec le cop à côté.
Une semaine plus tard, le confinement est levé uniquement en Région Centre et Le petit est découvert ensanglanté dans un nid de poule. Le visage rouge comme sang, les mains noires comme terre, et les jambes bleues comme lac. Emmené au urgence à l'hôpital de Blois, il faut dire que les équipes médicales sont débordées par le Coronavirus et donc ont quand même d'autres soucis que de s'occuper des faits divers, et qu'en plus ils n'ont pas assez de lit, Anton est donc transféré à l'hôpital de Berlin (en Allemagne) et là, il peut recevoir les soins dont il a besoin.
Marqué par cette expérience, Anton est devenu un grand chirurgien et épouse une infirmière allemande en septembre 2040. Il vit toujours en Allemagne à ce jour et nous lui devons la reconnaissance de sauver des vies.

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