Les maoistes avec Macron arrêté alors qu’ils livraient des LBD gracieusement offert à la police de Hong Kong

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Les maoïstes avec Macron, Alexandre Benalla et Ahmed Bouteflika, le petit fils du président algérien déchu ont été arrêtés le 16 mars au matin sur une base militaire taïwanaise alors qu’ils allaient livrer une cargaison de lanceurs de balles de défense (LBD) offert gracieusement à la police de Hong Kong afin de réprimer les manifestants.

Les maoïstes avec Macron sont un groupuscule fondé en mars 2017 par Jean Pierre Troifoirien son actuel président, grand admirateur de la pensée du Président Mao et marcheur de la première heure. Il a fondé ce groupuscule après que le président Macron ait déclaré « je suis maoïste » et cité une phrase du fondateur de la République Populaire de Chine, « un bon programme est un programme qui marche » et organisé une grande marche lors de sa campagne.

Les maoïstes avec Macron se sont fait connaître pour avoir organisé à l’été des concerts de soutien en faveur de Carrie Lam et au projet de loi d’extradition vers la Chine durant l’été 2019.

L’opération de livraison de LBD, au nom de code tempête dans les nouilles sautées a été imaginée en janvier dernier par Jean Pierre Troifoirien lors d’un dîner dans un restaurant appartenant à Soo Young, la fille du consul Solon Han. Benalla qui n’a plus de passeport, a décidé de faire appel à Ahmed Bouteflika, le petit fils d’Abdel Aziz Bouteflika et ancien membre des Ninjas (unités d’élite de la police algérienne) qui a fondé une entreprise de transport aérien à Saint Pierre et Miquelon.

La fine équipe a quitté l’aéroport militaire de Vélizy Villacoublay le 15 mars. Pour tromper la surveillance américaine, ils ont décidé de faire escale à Cayenne en Guyanne et ensuite repartir pour Shenzen afin de livrer les armes en question. Malheureusement Ahmed Bouteflika pensait naïvement que la Guyane était une île et d’après ce qu’il aurait déclaré à la police taïwanaise, il aurait confondu l’île de Guyane avec l’ile de Taïwan.

Taïwan, en froid avec la république populaire de Chine et dont une grande partie de la population a manifesté en soutient aux manifestants pro démocratie de Hong Kong n’a fait preuve d’aucune clémence, malgré la présence de Clément Troifoirien, le propre fils de Jean-Pierre Troifoirien. L’ensemble de la fine équipe a été condamné à 10 ans de prison pour espionnage au profil de la république populaire de Chine.

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