Saisie-contrefacon dans le pays d'arles

Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.

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Sa petite entreprise connaît la crise.Aujourd'hui mardi 23 janvier 2018, un habitant de Arles (bouche du rhone) a eu la surprise de voir la brigarde anti criminalité perquisitionner son domicile. Des baskets asics, des survetements de football ou encore des logos de grandes marques pret a l'emploi ont été saisis.

Le jeune homme de 30 ans s'adonnait depuis plusieurs mois à la revente d'articles de luxe sur le reseaux social facebook . Les annonces publiées sur le site proposé plusieurs articles de toute les marques a des prix tres attractifs sur lesquelles étaient exposées quelques centaines de produits de marques, précise-t-on à la cellule communication de la police natinale de la region d'arles.

Le fichier des clients transmis aux Douanes

« Depuis le mois de juillet, la section cybercriminalité effectue un travail de veille sur les sites de vente entre particuliers et sur les reseaux pour remonter au vendeur grâce à son ordinateur ou dans ce cas son telephone portable [son adresse IP, NDLR]. Plus de cent cinquante annonces hébergeant des photos des articles contrefaits ont été postées sur facebook, explique la police natinale. Ce n'est qu'en procédant à la perquisition que nous avons pu juger qu'il s'agissait bien de contrefaçons. »

Des profits sans doute minimisés par l'auteur Interrogé sur ses profits, le suspect, indique qu’il ne « tenait pas de comptabilité » mais estime à 500 € son bénéfice mensuel.
Les enqueteurs se sont eux accordés pour dire que le prévenu minimisait grandement l'importance des faits et agissait bien en professionnel.Durant sa garde a vue l'individu est rester calme et courtois tels un chef d'entreprise sans histoire nous precise les enqueteurs.La "boutique" etait tres bien reputée dans la ville et tournée a plein regime.

Outre la saisie d'objets contrefaits et du telephone de ce vendeur , les hommes de la brigade anti criminalité ont mis la main sur une liste de clients et de fournisseurs essentielement basé sur la region marseillaise. Elle a été transmise aux Douanes. Jusqu'à 1000 acheteurs pourraient encourir des poursuites judiciaires pour recel, à moins qu'ils ne réussissent à prouver leur bonne foi, précise une dépêche AFP.

L'homme,qui a etait libéré après une garde à vue de moins de 24 heures, et a été mis en examen pour « contrefaçon, recel et travail dissimulé ». Il a en effet tiré des subsides de son activité illégale, qu'il n'a évidemment pas déclarés aux autorités fiscales.

L'enquête, confiée à la section N-tech de la region des bouches du rhone , une cellule régionale spécialisée dans la cybercriminalité, est encore en cours.

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