Infection vaginale grave : La CENSST refuse d’indemniser une prostituée

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2 Juin 2017, St-Athanase (Québec)

Lors d’un examen de routine, un gynécologue a découvert une main coupée et nécrosée ainsi qu’une carcasse de motoneige volée dans la cavité vaginale d’une péripatéticienne très expérimentée de St-Athanase.

‘’J’ai l’habitude de trouver toute sorte de chose chez mes clients, mais c’est la première fois que nous avons eu à utiliser des pompiers pour espaces clos afin de sortir le skidoo’’ mentionne ce gynécologue d’expérience.

À la suite de cette opération, la dame s’est mise à souffrir de graves infections vaginales. Des stalactites de pu, une faune et un écosystème encore inconnu en biologie visible à l’œil nu.
Elle est donc forcée à l’arrêt complet de travail pour 3 mois le temps que Qualinet remette tout à neuf, voilà maintenant une autre tuile qui s’abat sur elle ; la CENSST refuse de reconnaitre qu’il s’agit d’un accident de travail.

L’argument de la CENSST est l’absence de tenue de livre comptable pour cette travailleuse autonome. Il est alors impossible de déterminer le gain assurable. D’autant plus qu’elle ne peut pas recevoir de double compensation ; Effectivement, la prostituée aurait apparemment déjà accepté un contrat d’enfouissement de déchets nucléaires en prévision de la fermeture de Gentilly2.

Il s’agit du deuxième refus de la CENSST pour une travailleuse du sexe cette année ; la comédienne Samantha Ardente s’est foulée la mâchoire lors d’une gorge profonde. La CENSST a contesté toutes ses demandes de réclamation.

L’Écho Sanguin
Le journal de St-Athanase

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