Elle meurt violemment après 19 minutes de bleusaille
Vous êtes sur un site satirique. Ne le prenez pas sérieusement. C'est une blague.
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Namur, en face du lieu de débauche appelé "Bunker", se déroulait une bleusaille organisée par les étudiants chimaciens de la ville. Cette activité, consistant à humilier les nouveaux arrivants dans le milieu estudiantin, surnommés "bleus", fut encore une fois le théâtre d'un évènement sans précédent...
C'est vers 19h20 que le drame se produisit. Alignés les uns à côté des autres dans la position dite de la "gueule en terre", les bleus subissaient les attaques morales et physiques incessantes des poils et plumes (autrement dit, les étudiants déjà baptisés). Seulement, ces derniers ne savaient pas qu'une des bleuettes, Sade Vandeweyer, avait des problèmes cardiaques. En effet, la jeune femme ne pouvait pas vivre sans son pacemaker, une sorte de pile qui aide à réguler le rythme cardiaque.
"Le truc c'est qu'on a demandé aux bleus de mettre toutes leurs affaires dans un sac avant la bleusaille mais on pensait pas qu'elle mettrait sa pile à côté des clefs de kot et des gsm" déclare Gautier Bastien, un des présidents de baptême. "Quand elle a commencé à enlever son pacemaker avec ses doigts en criant : J'Y ARRIVERAI AVEC OU SANS PILE !!!, c'est vrai que je me suis posé des questions mais pas au point de m'inquiéter" ajoute Gaëtan Lapôtre.
Dans un élan de courage, la jeune bleuette a réussi tout de même à manger 2 boîtes de pâté, à faire 87 pompes et à aller cherche un pain saucisse pour ses poils alors que son coeur ne battait plus. Les médecins se pencheront sur son cas dans les semaines à venir.
Le jeune Lapôtre rajouta enfin "On lui a quand même repris son t-shirt, lol la pute. De toute façon on droit à 10 de perte mdr."
Une situation troublante.
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