Il porte plainte contre son stylo à bille avec Facebook...

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Il porte plainte contre son stylo à bille avec Facebook...

En effet, en juin dernier lors d'une épreuve du Baccalauréat d'Histoire-Géographie, un lycéen strasbourgeois en terminale général scientifique a vécu le pire: n'ayant gardé sur sa table que son stylo à encre ainsi qu'un stylo à bille neuf acheté la veille au simply market, il advint qu'en milieu d'épreuve, son stylo à encre soit vide.
N'ayant plus de cartouche d'encre et ne pouvant pas communiquer avec ses camarades lors d'un examen tel-que celui-ci, il s'empresse donc de continuer l'épreuve avec son stylo bille qu'il avait garder au cas où.
Or l'incident arriva, au bout de 20 minutes de rédaction, ce stylo de la très célèbre marque bic cessa d'écrire, malgré le fait que le stylo avait été acheté le jour d'avant. En effet, un défaut été subvenu lors de sa fabrication et l'encre qui avait été mise était extrêmement faible.
Le lycéen demanda au professeur qui le surveillait, Aly Etassemi, s'il pouvait lui prêter un autre stylo mais celui ignora sa requête en lui demandant "poliment" de ce taire.

L'étudiant ayant eu 5/20 à cette épreuve, il n'eu pas les points qu'il attendait pour avoir son bac et dû passer en rattrapage qu'il réussit avec succès. Néanmoins, suite à cet événement, il décida de porter plainte contre la marque Bic ainsi que contre le professeur qui l'avait surveiller lors de son épreuve.

La plainte fut dans un premier temps rejetée par le ministère de Strasbourg, puis l'ancien lycéen créa une pétition sur Facebook où il exposa les faits et reçu plus de 80000 soutiens sur sa page. Suite à ça, l'académie de Strasbourg pris début août cette plainte en reconsidération.
Après avoir ouvert une enquête, le patron ainsi que le responsable qualité de l'entreprise bic furent interrogés au tribunal, et débuta alors un procès qui dura deux semaines où l'étudiant eu enfin gain de cause.
l'Entreprise Bic dû verser la somme de 4800,39 euros à la "victime", et le professeur concerné fut jugé puis condamné à 4 ans de prison pour acharnement verbale ainsi que pour refus d’obtempérer, il ajouta à la fin de son procès: "vous me faites pas peur"

L'étudiant concerné a bien profité de ses vacances et l'année prochaine ira en fac de philosophie où il va se ramasser comme une *****

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